lundi 19 janvier 2009

Anne Kling

«On a vu les origines communistes de la LICRA. Or, les points de convergence entre le communisme et l’islam ne manquent pas : tous deux sont fondamentalement internationalistes et à ce titre, combattent ou veulent transcender les nations. Et tous les internationalismes sont par essence destructeurs d’identité nationale. Communisme et islam sont en outre animés l’un et l’autre d’un prosélytisme sectaire et entretiennent la confusion entre le politique et le religieux. Car le communisme a toujours fonctionné à la manière d’une religion nouvelle destinée à remplacer toutes les autres. Cette confusion est parfaitement incompatible avec le système de valeurs correspondant à la tradition européenne et ne peut entraîner à terme que des conflits.Enfin, communisme et islam ont un point commun supplémentaire : ils combattent tous deux la démocratie. Même s’ils s’en défendent en s’emparant du terme pour mieux le vider de son contenu ».
« Si les musulmans sont aujourd’hui installés chez nous en nombre sans cesse grandissant, c’est bien parce que des politiques irresponsables et veules, sous la pression d’associations dites antiracistes, mais en réalité antinationales et anti-identitaires, leur ont ouvert toutes grandes les portes sans même leur demander en contrepartie de faire l’effort de s’adapter à notre société ».


SOURCE : Anne Kling

dimanche 18 janvier 2009

Quelques citations....

"Les Juifs s'intéressent à la Palestine non pas pour des raisons religieuses ou parce qu'elle est mentionnée dans l'Ancien Testament, ni parce que dans la Mer Morte se trouvent des minerais et des métaux pour 5 milliards de dollars, ni même parce que le sol de la Palestine contient des réserves de pétrole 20 fois supérieures à celles des deux Amériques réunies, non, nous les Juifs nous nous intéressons à la Palestine parce qu'elle constitue un noeud de communication entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique et, de ce fait, elle possède une importance géostratégique capitale, bref, elle est un centre stratégique militaire pour la domination du monde." -- Nahum Goldmann, Président de l'Organisation Mondiale Sioniste lors du Congrès mondial du Sionisme (1947)
"Nous (les Juifs) sommes des intrus; nous sommes des destructeurs; nous nous sommes emparés de vos biens propres, de vos idéaux, de votre destinée. Nous les avons foulés aux pieds. C'est nous qui avons été la cause première de la dernière guerre et non seulement de la dernière, mais de presque toutes vos guerres. Nous n'avons pas seulement été les auteurs de la révolution russe, mais les instigateurs de toutes les grandes révolutions de votre histoire." -- Century Magazine (janvier 1928)
Notre race est la race des maitres. Nous sommes des dieux divins sur cette planete. Nous sommes aussi différents des races inférieures comme ils le sont des insectes. En fait, comparé a notre race, les autres races sont des bêtes et des animaux, un bétail au mieux. Les autres races sont comme l'excrément humain. Notre destin doit être de régner sur ces races inférieures. Notre royaume terrestre sera gouverné par notre chef avec une baguette de fer. Les masses lécheront nos pieds et nous serviront comme des esclaves." -- Menahem Begin, Prix Nobel 1978
Je considère que le lobby juif, pas seulement en ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes, et je tiens à le dire publiquement." -- Raymond Barre, Interview sur France Culture (Février 2006)
Ce qui fait la race, ce n'est pas la langue, mais le sang, et le Juif le sait mieux que personne, puisqu'il attache peu d'importance à la conservation de sa langue et, par contre, en attache une très grande à ce que son sang reste pur. Un homme peut très facilement changer de langue, c'est-à-dire se servir d'une autre ; seulement, il exprimera alors dans sa nouvelle langue ses anciennes idées ; sa nature intime ne sera pas modifiée." -- Adolf Hitler
Nous nous débarrasserons des Juifs, ou bien nous crèverons des juifs, par guerres, hybridations burlesques, négrifications mortelles. Le problème racial domine, efface et oblitère tous les autres."
-- Louis-Ferdinand Céline, L’Ecole des cadavres (1938)
Aucun homme ne devrait traiter avec indifference le principe de la race. C'est la clef de l'Histoire, et si l'Histoire est si souvent confuse c'est parce qu'ellle est ecrite par des gens qui ignorent ce principe et toute la connaissance que cela implique... Le language et la religion ne font pas une race - Il n'y a qu'une seule chose qui fait la race, et c'est le sang."
-- Benjamin Disraeli, Endymion p.249-250

lundi 12 janvier 2009

Le Sionisme et le Troisième Reich


Au début de 1935, un bateau rempli de passagers, à destination de Haïfa en Palestine, quitta le port allemand de Bremerhaven. Sa poupe portait son nom en lettres hébraïques : «Tel-Aviv», alors qu'un drapeau à croix gammée flottait en haut du mât. Et bien que le bateau était une propriété sioniste, son capitaine était un membre du Parti National-socialiste. De nombreuses années plus tard, un ancien passager du bateau appela cette association de symboles «une absurdité métaphysique». Absurde ou pas, il s'agit d'une facette d'un chapitre peu connu de l'histoire : la collaboration de grande ampleur entre le Sionisme et le Troisième Reich hitlérien.
Objectifs communs: Pendant des années, des gens de nombreux pays se sont interrogés sur la «question juive» : c'est-à-dire, quel était le rôle exact des Juifs dans les sociétés non-juives ? Pendant les années 30, les Juifs sionistes et les Allemands nationaux-socialistes ont partagé des vues similaires sur la manière de résoudre cette embarrassante question. Ils étaient d'accord sur le fait que les Juifs et les Allemands étaient deux nationalités différentes, et que les Juifs n'appartenaient pas à l'Allemagne. Les Juifs vivant dans le Reich n'étaient donc pas considérés comme des «Allemands de confession juive», mais plutôt comme des membres d'une communauté nationale distincte. Le Sionisme (nationalisme juif) impliquait aussi l'obligation pour les Juifs sionistes de s'établir en Palestine, la «patrie juive». Ils auraient difficilement pu se considérer eux-mêmes comme des Sionistes sincères et réclamer simultanément l'égalité des droits en Allemagne ou dans n'importe quel autre pays «étranger».
Theodor Herzl (1860-1904), le fondateur du Sionisme moderne, soutenait que l'antisémitisme n'était pas une aberration, mais une réaction naturelle et parfaitement compréhensible des non-juifs aux comportements et aux attitudes des étrangers juifs. La seule solution pour les Juifs, disait-il, est de reconnaître la réalité et de vivre dans un état séparé. «La question juive existe partout où les Juifs vivent en nombre important», écrivait-il dans son ouvrage le plus connu, L'Etat Juif. «Là où elle n'existe pas, elle est provoquée par l'arrivée des Juifs ... Je crois que je comprend l'antisémitisme, qui est un phénomène très complexe. J'observe ce phénomène en tant que Juif, sans haine ni crainte.» La question juive, soutenait-il, n'est ni sociale ni religieuse. «C'est une question nationale. Pour la résoudre, nous devons avant tout en faire une question internationale ...». Quelle que soit leur nationalité, insistait Herzl, les Juifs ne constituent pas simplement une communauté religieuse, mais une nation, un peuple, un «Volk». Le Sionisme, écrivait Herzl, proposait au monde «une solution finale de la question juive».
Six mois après l'arrivée de Hitler au pouvoir, la Fédération Sioniste d'Allemagne (de loin le groupe sioniste le plus important dans le pays) soumit au nouveau gouvernement un mémorandum détaillé qui faisait le point sur les relations germano-juives et proposait formellement l'appui sioniste pour «résoudre» l'épineuse «question juive». La première étape, suggérait-il, devait être une franche reconnaissance des différences nationales fondamentales :
Le Sionisme n'a pas d'illusions sur la difficulté de la condition juive, qui consiste avant tout en un modèle d'occupation anormale, et dans l'erreur d'une posture intellectuelle et morale, non-enracinée dans une tradition nationale. Le Sionisme a reconnu depuis des décennies qu'en conséquence de la tendance assimilationniste, des symptômes de détérioration apparaîtraient forcément ...
Le Sionisme pense que la renaissance de la vie nationale d'un peuple qui est à présent en train de se produire en Allemagne, par le réveil de son identité chrétienne et nationale, doit aussi survenir dans le groupe national juif. Pour le peuple juif aussi, l'origine nationale, la religion,le destin commun et le sens de son unicité, doivent être d'une importance décisive pour la suite de son existence. Cela signifie que l'égoïsme individualiste de l'ère libérale doit être dépassé et remplacé par le sens de la communauté et de la responsabilité collective ...
Nous croyons que c'est précisément la Nouvelle Allemagne [nationale-socialiste] qui peut, par une résolution audacieuse dans le traitement de la question juive, faire un pas décisif en vue de la résolution d'un problème, qui en vérité, devra être traité avec la plupart des peuples européens ...
Notre reconnaissance de la nationalité juive réclame une relation claire et sincère avec le peuple allemand et ses réalités nationale et raciale. Précisément parce que nous ne souhaitons pas falsifier ces fondements, parce que nous aussi sommes contre les mariages mixtes et pour le maintien de la pureté du groupe juif, et rejetons tout empiétement dans le domaine culturel, nous pouvons -- ayant été élevés dans la langue et la culture allemandes -- trouver intérêt aux travaux et valeurs de la culture allemande, avec admiration et sympathie ...
Pour ses objectifs pratiques, le Sionisme espère être capable d'obtenir la collaboration même d'un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs, parce que pour résoudre la question juive les sentiments ne comptent pas, mais seul un réel problème dont la solution intéresse tous les peuples et actuellement, particulièrement le peuple allemand ...
La propagande pour le boycott -- tel qu'il est actuellement pratiqué contre l'Allemagne sous de nombreuses formes -- est par essence parce que le Sionisme ne désire pas l'affrontement mais [désire] convaincre et construire ...
Le journal de la Fédération, la Jüdische Rundschau («Revue Juive»), proclama le même message : «Le Sionisme reconnaît l'existence d'un problème juif et désire une solution constructive et à long terme. Dans ce but, le Sionisme souhaite obtenir l'assistance de tous les peuples, qu'ils soient pro- ou anti-juifs, parce que de son point de vue, nous avons affaire ici à un problème concret plutôt que sentimental, dont la solution intéresse tous les peuples.» Un jeune rabbin de Berlin, Joachim Prinz, qui s'installa plus tard aux Etats-Unis et devint le leader du Congrès Juif Américain, écrivit en 1934 dans son livre, Wir Juden («Nous, Juifs»), que la révolution nationale-socialiste en Allemagne signifiait «la Judaïté pour les Juifs». Il expliqua : «Aucun subterfuge ne peut nous sauver à présent. A la place de l'assimilation, nous désirons un nouveau concept : reconnaissance de la nation juive et de la race juive.»
Collaboration active : Sur la base de leurs idéologies similaires pour l'ethnicité et la nationalité, les Nationaux-socialistes et les Sionistes travaillèrent ensemble pour ce que chaque partie pensait être son propre intérêt national. En conséquence, le gouvernement de Hitler appuya vigoureusement le Sionisme et l'émigration juive en Palestine de 1933 à 1940-41, lorsque la Deuxième Guerre Mondiale empêcha une collaboration poussée.
Sur la base de leurs idéologies similaires pour l'ethnicité et la nationalité, les Nationaux-socialistes et les Sionistes travaillèrent ensemble pour ce que chaque partie pensait être son propre intérêt national. En conséquence, le gouvernement de Hitler appuya vigoureusement le Sionisme et l'émigration juive en Palestine de 1933 à 1940-41, lorsque la Deuxième Guerre Mondiale empêcha une collaboration poussée.
La SS fut particulièrement enthousiaste dans son appui au Sionisme. Une circulaire interne SS de juin 1934 recommandait un appui actif et de grande ampleur au Sionisme, de la part du gouvernement et du Parti, comme la meilleure manière d'encourager l'émigration des Juifs d'Allemagne en Palestine. Cela nécessitait une plus forte prise de conscience des Juifs. Les écoles juives, les associations sportives juives, les associations culturelles juives -- bref, tout ce qui pourrait encourager cette nouvelle perception et prise de conscience -- devaient être encouragées, recommandait la circulaire.
L'officier SS Leopold von Mildenstein et le représentant de la Fédération Sioniste Kurt Tuchler partirent ensemble en Palestine pour six mois, afin d'évaluer le développement du Sionisme dans ce territoire. Se basant sur ses observations de première main, Von Mildenstein écrivit une série de douze articles illustrés dans l'important quotidien berlinois Der Angriff [le journal lancé par Goebbels en 1927, NDT], qui furent publiés à la fin de 1934 sous le titre « Un Nazi voyage en Palestine». Les articles exprimaient une grande admiration pour l'esprit pionnier et les réalisations des colons Juifs. Le développement du Sionisme, écrivait Von Mildenstein, avait produit une nouvelle sorte de Juif. Il faisait l'éloge du Sionisme comme étant un grand bienfait pour le peuple juif et pour le monde entier. Un foyer national juif en Palestine, écrivait-il dans son dernier article, «montre la voie pour guérir une blessure vieille de plusieurs siècles sur le corps du monde : la question juive». Der Angriff fit frapper une médaille, avec une svastika sur une face et une étoile de David sur l'autre, pour commémorer la visite conjointe SS-Sioniste. Quelques mois après la parution des articles, Von Mildenstein fut promu à la tête de la Direction des Affaires Juives du Service de Sécurité SS (SD), avec l'objectif de soutenir plus efficacement l'émigration et le développement sionistes.
Le journal officiel SS, Das Schwarze Korps, proclama son appui au Sionisme dans une page éditoriale en mai 1935 : «Le temps pourrait ne plus être très éloigné, où la Palestine pourra à nouveau recevoir ses fils égarés pendant plus d'un millier d'années. Nos meilleurs voeux, joints la bienveillance officielle, les accompagnent.» Quatre mois plus tard, un article similaire parut dans le journal SS :
La reconnaissance du Judaïsme comme une communauté raciale basée sur le sang et non sur la religion conduit le gouvernement allemand à garantir sans réserves la séparation raciale de cette communauté. Le gouvernement se trouve en parfait accord avec le grand mouvement spirituel à l'intérieur du Judaïsme, nommé Sionisme, avec sa reconnaissance de la solidarité juive dans le monde et dans son rejet de toute notion assimilationniste. Sur cette base, l'Allemagne prend des mesures qui joueront sûrement un rôle significatif dans le futur, pour la prise en main du problème juif dans le monde.
Une des plus importantes compagnies maritimes allemandes ouvrit une ligne directe entre Hambourg et Haïfa en Palestine, en octobre 1933, fournissant «de la nourriture strictement kasher sur ses bateaux, sous la supervision du Rabbinat de Hambourg.»
Avec l'appui officiel, les Sionistes travaillèrent infatigablement à «rééduquer» les Juifs d'Allemagne. Comme l'écrivit l'écrivain américain Francis Nicosia dans son étude en 1985, Le Troisième Reich et la question de Palestine : «Les Sionistes furent encouragés à délivrer leur message à la communauté juive, à collecter de l'argent, à montrer des films sur la Palestine, et d'une manière générale à éduquer les Juifs allemands à propos de la Palestine. Il y eut une pression considérable pour enseigner aux Juifs en Allemagne à cesser de s'identifier aux Allemands et à éveiller en eux une nouvelle identité nationale juive.»
Dans une interview après la guerre, l'ancien dirigeant de la Fédération Sioniste d'Allemagne, le Dr Hans Friedenthal, résuma le situation : «La Gestapo fit tout pour encourager l'immigration pendant cette période, particulièrement vers la Palestine. Nous reçûmes souvent son aide lorsque nous demandions quelque chose à d'autres autorités, concernant des préparatifs pour l'immigration.»
Au Congrès du Parti National-socialiste en septembre 1935, le Reichstag adopta les lois dites «de Nuremberg », qui interdisaient les mariages et les relations sexuelles entre Juifs et Allemands, et de fait, proclamaient que les Juifs étaient une minorité nationale étrangère. Quelques jours plus tard l'éditorial du journal sioniste Jüdische Rundschau faisait bon accueil aux nouvelles mesures :
L'Allemagne ... rejoint les demandes du Congrès Sioniste Mondial lorsqu'elle déclare que les Juifs vivant à présent en Allemagne sont une minorité nationale. Maintenant que les Juifs ont été classés comme une minorité nationale il est à nouveau possible d'établir des relations normales entre la nation allemande et le Judaïsme. Les nouvelles lois donnent à la minorité juive en Allemagne sa propre vie culturelle, sa propre vie nationale. Dans le futur elle sera capable d'ouvrir ses propres écoles, son propre théâtre, et ses propres associations sportives. En résumé, elle peut créer son propre avenir dans tous les aspects de la vie nationale ...
L'Allemagne a donné à la minorité juive l'opportunité de vivre pour elle-même, et lui offre la protection de l'Etat pour cette vie séparée de la minorité juive : le processus de croissance du Judaïsme à l'intérieur d'une nation sera de ce fait encouragé et une contribution sera apportée à l'établissement de relations plus supportables entre les deux nations.
Georg Kareski, dirigeant de l'Organisation d'Etat Sioniste «Révisionniste» et de la Ligue Culturelle Juive, et ancien dirigeant de la communauté juive de Berlin, déclara dans une interview dans le quotidien berlinois Der Angriff à la fin de 1935 :
Depuis de nombreuses années j'ai considéré la séparation complète des affaires culturelles des deux peuples comme une condition préalable pour vivre ensemble sans conflit ... J'ai recommandé depuis longtemps une telle séparation, montrant qu'elle est fondée sur le respect pour la nationalité étrangère. Les lois de Nuremberg ... me paraissent, mis à part leurs aspects légaux, se conformer entièrement à ce désir d'une vie séparée, basée sur le respect mutuel. ... Cette interruption du processus de dissolution dans de nombreuses communautés juives, qui avait été encouragé par les mariages mixtes, est par conséquent, d'un point de vue juif, entièrement bienvenue.
Les dirigeants sionistes dans d'autres pays firent écho à ces vues. Stephen S. Wise, président du Congrès Juif Américain et du Congrès Juif Mondial, déclara lors d'un rassemblement à New York en juin 1938 : «Je ne suis pas un citoyen américain de religion juive, je suis un Juif ... Hitler avait raison pour une chose : il appelle le peuple juif une race, et nous sommes une race.»
Le spécialiste des Affaires Juives du Ministère de l'Intérieur, le Dr Bernhard Lösener, exprima son soutien au Sionisme dans un article qui parut dans une édition de novembre 1935 du bulletin officiel de l'Administration du Reich :
Si les Juifs avaient déjà leur propre état dans lequel la majorité d'entre eux était installée, alors la question juive pourrait être considérée comme complètement résolue aujourd'hui, et aussi pour les Juifs eux-mêmes. La plus faible opposition aux idées contenues dans les lois de Nuremberg s'est rencontrée chez les Sionistes, parce qu'ils ont immédiatement réalisé que ces lois représentent la seule solution correcte pour le peuple juif lui-même. Car chaque nation doit avoir son propre état comme expression extérieure de son propre esprit national.
En coopération avec les autorités allemandes, les groupes sionistes organisèrent un réseau de quelques quarante camps et centres agricoles à travers l'Allemagne, où de futurs colons furent entraînés pour leurs nouvelles vies en Palestine. Bien que les lois de Nuremberg interdisaient aux Juifs d'utiliser le drapeau allemand, les Juifs se virent garantir le droit d'utiliser la bannière nationale juive, bleue et blanche. Le drapeau qui serait un jour adopté par l'Etat d'Israël flotta sur les camps et les centres sionistes dans l'Allemagne d'Hitler.
Le service de sécurité de Himmler coopéra avec la Haganah, l'organisation militaire sioniste secrète en Palestine. L'agence SS rétribua financièrement le représentant de la Haganah, Feivel Polkes, pour ses informations sur la situation en Palestine et pour son aide dans l'organisation de l'immigration juive vers ce pays. [Feivel Polkes eut même une entrevue avec l'officier SS Adolf Eichmann, à Berlin le 26 février 1937, NDT.] Cependant, la Haganah était tenue informée des plans allemands par un espion qu'elle réussit à implanter dans le Quartier Général de la SS à Berlin. La collaboration Haganah-SS inclut même la livraison secrète d'armes allemandes aux colons juifs pour la lutte contre les Arabes de Palestine.
Restrictions officielles: L'appui allemand au Sionisme n'était pas illimité. Les dirigeants du Gouvernement et du Parti étaient très conscients de la campagne continue menée par les puissantes communautés juives aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et dans d'autres pays, pour mobiliser «leurs» gouvernements et leurs concitoyens contre l'Allemagne. Aussi longtemps que le Judaïsme mondial resterait implacablement hostile à l'Allemagne nationale-socialiste, et aussi longtemps que la grande majorité des Juifs dans le monde montrerait peu d'enthousiasme pour se réinstaller dans la «Terre promise» sioniste, un Etat juif souverain en Palestine ne «résoudrait» pas réellement la question juive internationale. Au contraire, résonnaient les dirigeants allemands, cela renforcerait immensément cette dangereuse campagne anti-allemande. En conséquence, l'appui allemand au Sionisme fut limité à un soutien pour un foyer juif en Palestine, sous contrôle britannique, pas pour un Etat juif souverain.
Un Etat juif en Palestine, déclara le Ministre [allemand] des Affaires Etrangères à des diplomates en juin 1937, ne serait pas dans l'intérêt de l'Allemagne parce qu'il ne serait pas capable d'absorber tous les Juifs du monde, mais servirait seulement comme une base de puissance supplémentaire pour le Judaïsme international, à peu près de la même manière que Moscou servait comme base pour le Communisme International. Reflétant un certain changement dans la ligne officielle, la presse allemande en 1937 exprima une bien plus grande sympathie pour la résistance arabe palestinienne aux ambitions sionistes, à un moment où la tension et le conflit entre les Juifs et les Arabes en Palestine étaient croissants.
Une circulaire du Ministère des Affaires Etrangères du 22 juin 1937 avertissait qu'en dépit de l'appui à la colonisation juive en Palestine, «ce serait néanmoins une erreur de supposer que l'Allemagne soutenait la formation d'une structure d'état en Palestine sous quelque forme de contrôle juif. Au vu de l'agitation anti-allemande du Judaïsme international, l'Allemagne ne peut pas approuver [l'idée] que la formation d'un Etat juif en Palestine aiderait le développement pacifique des nations du monde» (...) «La proclamation d'un Etat juif ou d'une Palestine administrée par les Juifs», avertissait un mémorandum interne de la section des Affaires Juives de la SS, «créerait pour l'Allemagne un nouvel ennemi, qui aurait une profonde influence sur les développements [politiques] au Proche-Orient». Une autre agence SS prédit qu'un Etat juif «travaillerait à apporter une protection spéciale aux minorités juives dans tous les pays, donnant par conséquent une protection légale à l'activité parasite du Judaïsme mondial». En janvier 1939, le nouveau ministre des Affaires Etrangères de Hitler, Joachim von Ribbentropp, avertit de même dans une autre circulaire que «l'Allemagne devait considérer la formation d'un Etat juif comme dangereuse», parce que «cela apporterait un accroissement international à la puissance du Judaïsme mondial».
Hitler lui-même revit personnellement toute cette question au début de 1938, et en dépit de son vieux scepticisme à propos des ambitions sionistes et de sa crainte que sa politique puisse contribuer à la formation d'un Etat juif, il décida de soutenir l'émigration juive en Palestine encore plus vigoureusement. La perspective de débarrasser l'Allemagne de ses Juifs, conclut-il, pesait plus lourd que les dangers possibles.
Cependant, le gouvernement britannique imposa des restrictions encore plus drastiques à l'immigration juive en Palestine en 1937, 1938 et 1939. En réponse, le service de sécurité SS conclut une alliance secrète avec l'agence clandestine sioniste Mossad le-Aliya Bet pour introduire illégalement les Juifs en Palestine. En résultat de cette collaboration intensive, plusieurs convois de bateaux réussirent à atteindre la Palestine malgré les bateaux de guerre britanniques. L'émigration juive, à la fois légale et illégale, [partant] d'Allemagne (incluant l'Autriche à partir de 1938) vers la Palestine, s'accrut dramatiquement en 1938 et 1939. Un autre départ de 10 000 Juifs était programmé pour octobre 1939, mais le déclenchement de la guerre mit fin à cet effort. Malgré tout, les autorités allemandes continuèrent à soutenir l'émigration indirecte des Juifs vers la Palestine en 1940 et 1941. Même aussi tard qu'en mars 1942, au moins un camp d'entraînement sioniste «kibboutz», officiellement autorisé pour les émigrants potentiels, continua à fonctionner dans l'Allemagne de Hitler.
L'Accord de Transfert: La pièce centrale de la coopération germano-sioniste pendant l'époque hitlérienne fut l'Accord de Transfert, un pacte qui permit à des dizaines de milliers de Juifs allemands d'émigrer en Palestine avec leur fortune. L'Accord, également connu sous le nom de Haavara (mot hébreu pour «transfert»), fut conclu en août 1933 après des pourparlers entre des officiels allemands et Chaïm Arlosoroff, Secrétaire Politique de l'Agence Juive, centre palestinien de l'Organisation Sioniste Internationale.
Par cet arrangement inhabituel, chaque Juif en partance pour la Palestine déposait de l'argent sur un compte spécial en Allemagne. L'argent était utilisé pour acheter du matériel agricole de fabrication allemande, des matériaux de construction, des pompes, des engrais, etc, qui étaient exportés en Palestine et vendus par la compagnie juive du Haavara à Tel-Aviv. L'argent des ventes était donné à l'émigrant juif à son arrivée en Palestine, avec un montant correspondant à son dépôt en Allemagne. Les marchandises allemandes se déversèrent sur la Palestine par l'intermédiaire du Haavara, qui fut complété peu de temps après par un accord de troc, par lequel des oranges de Palestine furent échangées contre du bois de construction, des automobiles, des machines agricoles, et d'autres marchandises allemandes. Ainsi l'Accord servit le projet sioniste d'amener des colons juifs et des capitaux en Palestine, tout en servant simultanément le but allemand de libérer le pays [allemand] d'un groupe étranger indésirable.
Les délégués du Congrès Sioniste de Prague en 1933 débattirent vigoureusement des mérites de l'Accord. Certains craignaient que le pacte ne sape le boycott économique international des Juifs contre l'Allemagne. Mais les officiels sionistes rassurèrent le Congrès. Sam Cohen, une figure-clé de l'Accord du Haavara, assura que l'Accord n'était pas économiquement avantageux pour l'Allemagne. Arthur Ruppin, un spécialiste de l'émigration de l'Organisation Sioniste, qui avait aidé à négocier le pacte, souligna que «l'Accord de Transfert n'interférait en aucune manière avec le mouvement de boycott, car aucune nouvelle devise n'entrerait en Allemagne en résultat de l'Accord ...». Le Congrès Sioniste de 1935, qui eut lieu en Suisse, approuva massivement le pacte. En 1936, l'Agence Juive (le «gouvernement clandestin» sioniste en Palestine) prit le contrôle direct du Haavara, qui resta en vigueur jusqu'à ce que la Deuxième Guerre Mondiale oblige à l'abandonner.
Certains officiels allemands s'opposèrent à l'arrangement. Le Consul Général d'Allemagne à Jérusalem, Hans Döhle, par exemple, critiqua sévèrement l'Accord en plusieurs occasions pendant l'année 1937. Il souligna que cela coûtait à l'Allemagne les échanges extérieurs que les produits exportés en Palestine par le moyen du pacte, pourraient rapporter s'ils étaient vendus ailleurs. Le monopole du Haavara sur la vente de marchandises allemandes en Palestine par l'intermédiaire de l'Agence Juive mécontentait naturellement les hommes d'affaires allemands, ainsi que les Arabes. L'appui officiel allemand au Sionisme pouvait conduire à perdre des marchés dans le monde arabe. Le gouvernement britannique était aussi mécontent de l'arrangement. Un bulletin interne du Ministère allemand des Affaires Etrangères en juin 1937 faisait allusion aux «sacrifices des échanges extérieurs» qui résultaient du Haavara.
Un mémorandum interne de décembre 1937 du Ministère allemand de l'Intérieur revoyait l'impact de l'Accord de Transfert : «Il n'y a pas de doute que l'arrangement du Haavara a contribué très significativement au développement très rapide de la Palestine depuis 1933. L'Accord n'a pas seulement fourni la plus grande source d'argent (depuis l'Allemagne !), mais aussi le groupe d'immigrants le plus intelligent, et finalement il a apporté au pays les machines et les produits industriels essentiels pour son développement ». Le principal avantage du pacte, disait le mémorandum, était l'émigration de groupes importants de Juifs en Palestine, l'objectif le plus désirable du point de vue de l'Allemagne. Mais le rapport notait aussi les importants inconvénients soulignés par le Consul Döhle et par d'autres. Le Ministre de l'Intérieur, continuait le texte, avait conclu que les désavantages de l'Accord dépassaient à présent les avantages, et que par conséquent, il fallait y mettre fin.
Un seul homme pouvait résoudre la controverse. Hitler revit personnellement cette politique en juillet et septembre 1937, et à nouveau en janvier 1938, et à chaque fois décida de maintenir l'arrangement du Haavara. L'objectif de libérer l'Allemagne de la présence des Juifs, conclut-il, justifiait les inconvénients.
Le Ministère de l'Economie du Reich aida à organiser une autre compagnie de transfert, l'Agence d'Investissement et de Commerce International, ou Intria, par laquelle les Juifs des pays étrangers pouvaient aider les Juifs allemands à émigrer en Palestine. Presque 900 000 dollars furent finalement transférés aux Juifs allemands en Palestine par l'intermédiaire de l'Intria. D'autres pays européens, impatients d'encourager l'émigration juive, conclurent des accords avec les sionistes, sur le modèle du Haavara. En 1937 la Pologne autorisa [la création de] la compagnie de transfert Halifin (mot hébreu pour «échange»). A la fin de l'été 1939, la Tchécoslovaquie, la Roumanie, la Hongrie et l'Italie avaient signé des arrangements similaires. Le déclenchement de la guerre en septembre 1939, empêcha cependant la mise en oeuvre à grande échelle de ces accords.
Les réalisations du Haavara: Entre 1933 et 1941, quelques 60 000 Juifs allemands émigrèrent en Palestine avec l'aide du Haavara et d'autres arrangements germano-sionistes, c'est-à-dire à peu près 10% de la population juive de l'Allemagne de 1933. (Ces Juifs allemands formaient environ 15% de la population juive de Palestine en 1939.) Certains émigrants du Haavara transférèrent des fortunes personnelles considérables de l'Allemagne vers la Palestine. Comme l'a noté l'historien juif Edwin Black : «Beaucoup de ces gens, spécialement à la fin des années 30, purent transférer de véritables répliques de leurs maisons et de leurs usines, c'est-à-dire refaire leur vie presque à l'identique».
Le montant total de l'argent transféré d'Allemagne en Palestine par le Haavara entre août 1933 et la fin de 1939 fut de 8,1 millions de livres, soit 139,57 millions de marks allemands (ou l'équivalent de plus de 40 millions de dollars). Ce montant incluait 33,9 millions de marks allemands (13,8 millions de dollars) fournis par la Reichsbank en application de l'Accord.
L'historien Edwin Black a estimé que 70 millions de dollars supplémentaires ont pu être transférés en Palestine par des accords commerciaux corollaires avec l'Allemagne, et des transactions bancaires internationales. Les fonds allemands eurent un impact majeur sur un pays aussi sous-développé que l'était la Palestine dans les années 30, remarque-t-il. Plusieurs entreprises industrielles majeures furent créées avec les capitaux venant d'Allemagne, incluant les entreprises de canalisations «Mekoroth» et de textile «Lodzia». L'afflux des produits et des capitaux du Haavara, conclut Edwin Black, «produisit une explosion économique en Palestine juive» et fut «un facteur indispensable dans la création de l'Etat d'Israël».
L'Accord du Haavara contribua grandement au développement juif en Palestine, et ainsi, indirectement, à la fondation de l'Etat d'Israël. Un bulletin de janvier 1939 du Ministère allemand des Affaires Etrangères rapportait, avec quelque inquiétude, que «le transfert de propriétés juives en-dehors d'Allemagne [par l'Accord du Haavara] contribuait d'une manière non négligeable à la construction d'un Etat juif en Palestine».
D'anciens officiels de la compagnie du Haavara en Palestine confirmèrent ces vues dans une étude détaillée de l'Accord de Transfert, publiée en 1972 : «L'activité économique rendue possible par l'afflux de capitaux allemands et les transferts du Haavara aux secteurs privé et public, furent de la plus grande importance pour le développement du pays. De nombreuses industries nouvelles et d'entreprises commerciales s'établirent en Palestine juive, et de nombreuses entreprises qui sont extrêmement importantes, encore aujourd'hui, pour l'économie de l'Etat d'Israël, doivent leur existence au Haavara». Le Dr Ludwig Pinner, un représentant du Haavara à Tel-Aviv pendant les années 30, commenta plus tard que les immigrants exceptionnellement compétents du Haavara «contribuèrent de manière décisive» au développement économique, social, culturel et éducatif de la communauté juive de Palestine.
L'Accord de Transfert fut l'exemple le plus extrême de la coopération entre l'Allemagne de Hitler et le Sionisme international. Par cet accord, le Troisième Reich de Hitler fit plus que tout autre gouvernement pendant les années 30 pour soutenir le développement juif en Palestine.
Les Sionistes proposent une alliance militaire avec Hitler: Au début de janvier 1941, une petite mais importante organisation sioniste soumit une proposition formelle aux diplomates allemands à Beyrouth, en vue d'une alliance politico- militaire avec l'Allemagne en guerre. La proposition fut faite par le groupe clandestin extrémiste «Combattants pour la Liberté d'Israël», plus connu sous le nom de Lekhi ou Groupe Stern. Son leader, Abraham Stern, avait récemment rompu avec le groupe nationaliste radical «Organisation Militaire Nationale» (Irgoun Zvai Leumi) à propos de l'attitude à tenir envers la Grande-Bretagne, qui avait efficacement interdit la poursuite de la colonisation juive en Palestine. Stern considérait la Grande-Bretagne comme l'ennemi principal du Sionisme.
Cette proposition sioniste proposition «pour la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO [Lekhi] à la guerre aux cotés de l'Allemagne» mérite d'être citée plus en détails :
Dans leurs discours et déclarations, les principaux dirigeants de l'Allemagne nationale-socialiste ont souvent souligné qu'un Ordre Nouveau en Europe requiert comme préalable une solution radicale de la question juive par l'évacuation («l'Europe libérée des Juifs»).
L'évacuation des masses juives d'Europe est une condition préalable pour résoudre la question juive. Cependant, la seule manière de la réaliser totalement est l'installation de ces masses dans la patrie d'origine du peuple juif, la Palestine, et par l'établissement d'un Etat juif dans ses limites historiques.
Le but de l'activité politique, et des années de combat du Mouvement pour la Liberté d'Israël, l'Organisation Militaire Nationale en Palestine (Irgoun Zvai Leumi), est de résoudre le problème juif de cette manière et ainsi de libérer complètement le peuple juif pour toujours.
Le NMO, qui connaît bien la bonne volonté du gouvernement du Reich allemand, et ses représentants, dans le cadre des activités sionistes en Allemagne et du programme sioniste d'émigration, est d'avis que :
1. Des intérêts communs peuvent exister entre un Ordre Nouveau européen basé sur le concept allemand et les véritables aspirations nationales du peuple juif, telles qu'incarnées par le NMO.
2. La coopération est possible entre la Nouvelle Allemagne et une Judaïté («Hebräertum») nationale-populaire rénovée.
3. L'établissement de l'Etat juif historique sur une base nationale et totalitaire, et lié par traité au Reich allemand, serait dans l'intérêt du maintien et du renforcement futur de la position et de la puissance de l'Allemagne au Proche-Orient.
Sur la base de ces considérations, et à la condition que le gouvernement du Reich allemand reconnaisse les aspirations nationales du Mouvement pour la Liberté d'Israël, mentionnées ci-dessus, le NMO en Palestine propose de prendre part activement à la guerre aux côtés de l'Allemagne.
Cette proposition du NMO pourrait inclure une activité militaire, politique, et de renseignement à l'intérieur de la Palestine, et après certaines mesures organisationnelles, également en-dehors. En parallèle, les hommes juifs d'Europe seraient entraînés militairement et organisés dans des unités militaires sous la direction et le commandement du NMO. Ils prendraient part à des opérations de combat dans le but de conquérir la Palestine, si un tel front devait s'ouvrir.
La participation indirecte du Mouvement pour la Liberté d'Israël à l'Ordre Nouveau en Europe, déjà dans la phase préparatoire, combinée avec une solution radicalement positive du problème juif européen, sur la base des aspirations nationales, mentionnées ci-dessus, du peuple juif, renforcerait grandement le fondement moral de l'Ordre Nouveau aux yeux de toute l'humanité.
La coopération du Mouvement pour la Liberté d'Israël serait aussi en Accord avec un récent discours du Chancelier du Reich allemand, dans lequel Hitler assurait qu'il utiliserait toute combinaison et coalition pour isoler et vaincre l'Angleterre.
Il n'existe pas de traces d'une réponse allemande. Une acceptation était très improbable de toute manière, parce qu'à ce moment la politique allemande était résolument pro-arabe. Il est remarquable que le Groupe Stern chercha à conclure un pacte avec le Troisième Reich à une époque où des bruits selon lesquels Hitler préparait l'extermination des Juifs, étaient déjà largement en circulation. Apparemment, soit Abraham Stern ne crut pas à ces bruits, soit il voulait collaborer avec l'ennemi mortel de son peuple pour aider à la formation d'un Etat juif.
Un membre important du Lekhi à l'époque où le Groupe fit cette proposition était Yitzhak Shamir, qui plus tard devint Ministre des Affaires Etrangères d'Israël, et ensuite pendant les années 80 et jusqu'en juin 1992, Premier Ministre. En tant que chef des opérations du Lekhi, après la mort de Stern en 1942 [tué par l'Armée britannique, NDT], Shamir organisa de nombreuses actions terroristes, incluant l'assassinat du Ministre britannique du Moyen-Orient, Lord Moyne, en novembre 1944, et le meurtre du médiateur suédois des Nations Unies, le comte Bernadotte, en septembre 1948.
Des années plus tard, lorsque Shamir fut interrogé sur la proposition [faite aux Allemands] de 1941, il confirma qu'il était au courant de la proposition d'alliance faite par son organisation, avec l'Allemagne en guerre.
Conclusion: En dépit de l'hostilité fondamentale entre le régime de Hitler et le Judaïsme international, pendant plusieurs années les intérêts des Sionistes juifs et des Nationaux-socialistes allemands coïncidèrent. En collaborant avec les Sionistes en vue d'une solution humaine et mutuellement désirable à un problème complexe, le Troisième Reich consentait à sacrifier des échanges extérieurs, à détériorer ses relations avec la Grande-Bretagne, et à mécontenter les Arabes. En effet, durant les années 30 aucune nation ne fit plus que l'Allemagne de Hitler en faveur des objectifs lointains des Sionistes juifs.
SOURCE : Journal of Historical Review 13/4, (May-June 1993), 29ff. Les notes en bas de page de Mark Weber ont été supprimées du texte reproduit ci-dessus. L'article complet est disponible sur le site de l'IHR. Pour d'autres informations sur ce sujet, voir l'étude d'Ingrid Weckert (hors-site) sur l'émigration juive hors du Troisième Reich, disponible au CODOH.

dimanche 11 janvier 2009

" illuminati " Nouvel ordre mondial.


En débutant ce bref exposé sur la « Théorie de la Conspiration Mondiale », il est impératif dans un premier temps de présenter les personnages principaux et leurs caractères machiavéliques afin de mieux dépeindre la situation réelle. D’un point vu historique, il semble que les racines de cette organisation sombre et obscure remonte avant Babylone ou -4000 avant Jésus Christ dans des textes Sumériens. D’après la thèse de Sitchin, ces tablettes sumériennes relatent l’histoire du Prince de la terre (EA) créateur de l’homo sapiens, qui se rebella contre les cruautés infligées par ses congénères, les Annunakiens, aux humains. Dans la langue sumérienne, Annunakien veut dire : « Ceux qui descendent du ciel sur la terre ».
Ce Prince de la terre aurait fondé la « Confrérie du Serpent » dans le but de répandre des connaissances spirituelles et d'atteindre la liberté au niveau spirituel. Cette confrérie combattait l'esclavage d'êtres spirituels et essayait de libérer l'humanité, de la servitude des extra-terrestres (le mot originel de la Bible pour serpent, nahash, tire son origine de NHSH, ce qui signifie "déchiffrer, trouver"). EA, le légendaire, et la CONFRERIE DU SERPENT dans ses débuts ne réussirent pas à libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes mésopotamiens, égyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent) aurait été vaincu bientôt par d'autres groupes des extra-terrestres régnants. Ea fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes. De "prince de la Terre" il passa prince des ténèbres" et fut affublé aussi de surnoms horribles tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable... On le présentait comme le pire ennemi du plus grand être et comme le gardien de l'enfer. On enseigna aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.
L'histoire montre que la "Confrérie du Serpent" - malgré les efforts jusqu'à nos jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable réforme spirituelle à l'aide de la fraternité - devint avec ses nouveaux maîtres (appelés aujourd'hui Illuminati) une arme redoutable d'oppression spirituelle et de trahison spirituelle. Une organisation secrète puissante et machiavélique ayant comme seul but, celui d’assouvir son besoin de pouvoir et de servitude.

Les Illuminati sont une "élite dans l'élite". C'est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des "Maîtres du Monde". La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l'identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s'agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller (notamment l'incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR).
Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l'Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. A cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, en ces temps, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.
La création des Illuminati marquait le lancement d'un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s'est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d'une élite héréditaire d'initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple "club de réflexion" ou "réseau d'influence". Il s'agit d'une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou "occulte". Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d'apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.
Le terme "Illuminati" signifie littéralement "les Illuminés" (du latin "illuminare": illuminer, connaître, savoir). Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d'une connaissance et d'une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l'humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d'une société secrète très ancienne, la "Fraternité du Serpent" (ou "Confrérie du Serpent"), dont l'origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.
La civilisation qui domine le monde aujourd'hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale: l'administration d'état, l'argent, le commerce, les taxes et les impôts, l'esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l'asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l'irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd'hui l'Irak.
Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" égyptiennes et grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.
Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l'Elite) est éclairé par l'œil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population). Les deux mentions en latin sont très significatives. "NOVUS ORDO SECLORUM" signifie "nouvel ordre pour les siècles". En d'autres termes: Nouvel Ordre Mondial. Et "ANNUIT CŒPTIS" signifie: "notre projet sera couronné de succès". Un projet aujourd'hui très proche de sa réalisation finale à l’aube de cette domination tant convoitée par l’élite sur les masses abruties de la main d’œuvre populaire sans connaissance occulte.

Ultima Thule.


La Thule-Gesellschaft (Société de Thulé) a été fondé le 17 Aout 1918, par Rudolf von Sebottendorff. Il a apprit l’occultisme, le mysticisme Islamique, l’alchimie, le Rosicrucianisme et plus encore en Turquie, où il a aussi été initié à la Franc-Maçonnerie.

Son nom original était Studiengruppe für germanisches Altertum (Groupe d’étude de l’antiquité Allemande), mais elle commença très tôt à disséminer de l’anti-républicanisme et de la propagande antisémite.

Un mouvement afin de faire la promotion d’idées Thuliennes parmi les travailleurs industriels et de compenser le Marxisme, a été formé en Aout 1918 - Le Parti Ouvrier Allemand avec le Thuliste Karl Harrer en tant que directeur.

A partir de ça fut développé le Parti des Travailleurs Allemands en 1919.

Un an plus tard le groupe devint le NSDAP sous la directive de Adolf Hitler. Il avait des membres de haut rang du parti, tel que Rudolf Hess et Alfred Rosenberg, et pas Hitler. Serbottendorff nous dit, “les membres de Thulé sont les gens qui se sont tournés en premier à Hitler et avec qui Hitler s’est rallié”.
Le drapeau avec la swastika adopté par le NSDAP était le fruit d’un autre membre de la société Thulé, Dr Krohn.
Son organe de presse était le Münchener Beobachter (l’Observateur de Munich, Munich Observer) qui plus tard fut renommé le Völkischer Beobachter (l’Observateur des Gens). La Société Thulé est connut pour avoir des connections étroites avec la société secrète Germanenorden (à ne pas confondre avec l’ordre Teutonique).

Le Germanenorden était une société secrète en Allemagne au début du 20ème siècle. Formée à partir de plusieurs Allemands occultistes proéminents en 1912, l’ordre, qui utilisa la swastika comme symbole, a une structure hiérarchique fraternelle similaire à la franc-maçonnerie. Elle apprit à ses initiés des idéologies nationalistes de la supériorité de la race nordique, antisémitisme aussi bien que de l’occultisme, et des philosophies presque magiques. Certain raconte que le Deutsche Arbeiter-Partei (plus tard le parti Nazi) fut sous le contrôle de Adolf Hitler en tant que front politique, et effectivement l’organisation refléta plusieurs idéologies du parti, y compris le symbole de la swastika. La Société Thulé, une autre société secrète similaire, avec des idéologies similaires et ses symboles furent étrangement connectées avec celle-ci.

Avec la victoire du Parti Nazi, la tradition occulte fut conservée jusqu’au 3ème Reich principalement grâce aux SS, dans lequel le Reichsführer, Himmler, était un étudiant avide de l’occulte. Un département SS de la recherche de l’occulte, le Ahnernerbe (L’héritage ancestrale) fut établit en 1935 avec le Colonel SS Wolfram von Sievers à sa tête. La recherche de l’occulte obligea les rechercheurs SS d’aller à des endroits aussi loin que le Tibet. Sievers a eut une prière tantrique, le Bardo Thödol, lut tout le long de son corps après son exécution à Nuremberg.

Le National-Socialisme et le 3ème Reich représentèrent une tentative majeure par des adeptes hautement ésotériques afin de re-établir une culture basé sur les lois de la Nature, contre les forces-établies anti-Vie. Il n’y a pas eut de tentative aussi ambitieuse dans l’histoire à part la fondation de la République Américaine par des adeptes Maçonnique,
Les croyances du cercle intérieur de la Société de Thulé …

- Thule est une île légendaire dans le grand nord, similaire à Atlantis, supposément le centre d’une civilisation perdue ayant de grand niveau technologique. Mais pas tous les secrets de cette civilisation furent disparus. Ceux qui restèrent furent gardés par des anciens, des êtres très intelligents (similaire aux “Maîtres” de Théosophie et de la Fraternité Blanche).

- Le nouvel initié peut établir contact avec ces êtres avec l’aide de rituels mystiques-magiques.
- Les “Maîtres” ou “Ancients” seraient supposément capable de douer les initiés d’énergie et de force supranaturelles.
- Avec l’aide de ces énergies le but des initiés est de créer une race suprême d’”Aryen” qui exterminerait les races “inférieurs”.

Le 6 Avril 1919, en Bavière, les socialistes et anarchistes proclamèrent la République Soviétique Bavaroise. Les cerveaux de la révolution étaient un groupe d’écrivains qui avait peu d’idées sur l’administration. La vie à Munich est devenue chaotique. Les forces contre-révolutionnaires, les blancs, composées d’une variété de groupes de soldats relevés de leurs fonctions, aussi connues sous le nom de “Freikorps”, furent équipés et financés par la mystérieuse Société de Thulé et ont battu la Bavière Soviétique en l’affaire de quelques semaines.

Plusieurs autres de ces soldats discrédités attendirent la fin des turbulences dans les casernes, avec Adolf Hitler parmi eux. Après que la République Bavaroise fut battue par les blancs, en Mai, les supérieurs d’Hitler lui donnèrent du travail à la commission d’investigation postrévolutionnaire.
Ses accusations injectèrent de l’efficacité sans pitié à la Standgericht (Kangaroo court, où une court martiale de procédure légale honteuse) alors qu’il dénonçait impitoyablement des centaines d’officiers non-commissionnés et fit une liste d’hommes qui avaient sympathisés avec les communistes et anarchistes. Il a été donc envoyé postérieurement à faire parti de cours spéciaux anti-communistes et des séminaires dans des universités qui furent financés par l’administration Reichswehr et par des donateurs privés de la Société Thulé.

Cela a amené à l’assignation dans la division des informations de l’armée post-guerre mondiale Allemande, d’infilter des groupes qui pourraient organiser les classes de travail alors que les communistes étaient faible.
Lors d’une soirée en Septembre 1919, Hitler se converti au Sternecker Beer Hall où les membres et les frères du Parti Travailleurs Allemands se sont rassemblés. Il écouta silencieusement à la présentation de l’ingénieur Gottfried Feder, un membre de la Société Thulé, qui parla à propos du contrôle Juif sur les capitaux. Quand un des autres membres appela la Bavière à se séparer du reste de l’Allemagne, Hitler se lança en action. L’extraordinaire audience se leva alors que ses remarques extrêmement agressives et ses dons oratoires ont complètement anéanti la salle.
Après qu’Hitler eu finit son harangue, le directeur et le fondateur du parti, Anto Drexler, lui ont immédiatement demandé de se rendre à un meeting du comité de direction du parti dans quelques jours. Il a été demandé de rejoindre le comité en tant que septième membre, responsable de la publicité et de la propagande.

De retour dans l’année 1912, plusieurs occultistes Allemands avec des inclinaisons radicales antisémites décidèrent de former une loge “magique”, qu’ils ont nommé l’Ordre des Teutons. Les fondateurs principaux sont Theodor Fritsch, un éditeur pour un journal antisémite; Philipp Stauff, élève du raciste Guido Von List, et Hermann Pohl, le chancelier de l’ordre. (Pohl quittera l’ordre 3 ans plus tard pour fonder sa propre loge bizarre, la Walvater Teutonic Order of the Holy Grail, l’Ordre Teutonique Walvater du Saint Graal.) L’Ordre des Teutons a été organisé selon les principes de la Franc-Maçonnerie et des Rosicruciens, ayant différent dégré d’initiation, seul les personnes pouvant documenter qu’ils sont d’une lignée pure “Aryenne” sont autorisées à joindre.

En 1915, Pohl fut rejoint par Rudolf Blauer, qui avait un passeport Turc et qui avait pratiqué la méditation Sufi. Il s’était aussi lancé dans l’astrologie et était admiratif de Lanz Von Liebenfels et de Guido Von List, tout deux pathologiquement antisémites. Blauer utilisa le nom de Rudolf Freiherr von Seboottendorf. Il était très puissant, bien que l’origine de sa fortune est inconnue. Il deviendra le Grand Maître de l’Ordre Bavarois et il fonda la Société Thulé, avec l’accord de Pohl, en 1918.

Après la révolution communiste de Bavière, la Société Thulé devînt le centre de la subculture contre-révolutionnaire. Un réseau d’espionnage et des armes cachées furent organisés. Le Club de Thulé devint un nid de résistance à la révolution de la République Soviétique de Munich.
Le journaliste Karl Harrer eu comme travail de fonder un “cercle de travailleur” politique. Il réalisa que les travailleurs rejetteraient n’importe quel programme qui serait présenté à eux par un membre conservateur d’une classe “privilégiée”. Harrer savait que le mécanicien Anto Drexler, qui travaillait pour les réseaux de voie ferrées, était un antisémite connu, un macho et un prolétarien. Avec Drexler en tant que directeur nominal, Harrer fonda le Parti des Travailleurs Allemands en Janvier 1919.

Le Parti des Travailleurs Allemands était seulement une des plusieurs associations fondées et contrôlées par la Société Thulé. Thulé est la mére du Parti Socialiste Allemand, dirigé par Julius Streicher, et le radical de droite Oberland Free Corps. Il publia l’observateur de Munich, qui devint plus tard l’Observateur National.
Hitler devint la personnalité proéminente du parti. Il causa la chute de Harrer, et poussa Drexler, le directeur, sur la bande de touche. Hitler a rempli les positions clés de ses propres amis de la Société Thulé et de l’Armée.
Durant l’été 1920, sous sa suggestion, le parti fut été renommé Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NASDAP). Le nouveau nom a été conçu dans le but d’attirer les nationalistes et les prolétariens.

Pour continuer avec le nouveau nom, son mouvement de masse exigeait aussi un drapeau ayant un symbole puissant. Parmi plusieurs créations prisent sous considération, Hitler a choisit celui qui fut suggéré par le membre Thulé Dr. Krohn: une chemise rouge avec un cercle blanc contenant à l’intérieur une swastika noire.

Hitler voulait tourner le Parti des Travailleurs Allemands en un parti de combat ultra-conscient, mais Harrer et Drexler furent hésitants, majoritairement à cause de leurs situations financières exécrables. La Société Thulé n’était pas encore entrain de fournir suffisamment d’argent et personne ne savait comment construire un parti de masse. Hitler arrangea deux rendez-vous publics dans des tavernes obscures, il fit des brouillons, des brochures et des postters, mais il n’y a pas vraiment eu de grande percée.

Tout cela changea dramatiquement à la fin de l’année 1919 quand Hitler rencontra Dietrich Eckart. La plupart des biographes ont sous-estimé l’influence qu’Eckart exerçait sur Hitler. Il était l’auteur puissant et l’éditeur en chef d’un journal antisémite qu’il appela “En Pur Allemand” (In Plain German). Eckart était aussi un occultiste et un maître de la magie. En tant qu’initié, Eckart appartenait au cercle intérieur de la Société Thulé et aussi à d’autres ordres ésotériques.

Il n’y a aucun doute qu’en fait Eckart - qui a été alerté à propos d’Hitler par d’autres Thulistes - entraina Hitler avec des techniques de confiance de soi, de projection de soi, d’oratoire persuasif, de langage du corps et de sophisme discursif. Avec ces outils, dans une courte période temporaire il fut capable de bouger l’atmosphère du parti obscur des Travailleurs au Club de la Taverne de Bière (club and beer hall) en un mouvement de masse. L’émotion chargée transforma l’orateur en un super orateur, capable d’hypnotiser une vaste audience.

Tout cela changea dramatiquement à la fin de l’année 1919 quand Hitler rencontra Dietrich Eckart. La plupart des biographes ont sous-estimé l’influence qu’Eckart exerçait sur Hitler. Il était l’auteur puissant et l’éditeur en chef d’un journal antisémite qu’il appela “En Pur Allemand” (In Plain German). Eckart était aussi un occultiste et un maître de la magie. En tant qu’initié, Eckart appartenait au cercle intérieur de la Société Thulé et aussi à d’autres ordres ésotériques.

Il n’y a aucun doute qu’en fait Eckart - qui a été alerté à propos d’Hitler par d’autres Thulistes - entraina Hitler avec des techniques de confiance de soi, de projection de soi, d’oratoire persuasif, de langage du corps et de sophisme discursif. Avec ces outils, dans une courte période temporaire il fut capable de bouger l’atmosphère du parti obscur des Travailleurs au Club de la Taverne de Bière (club and beer hall) en un mouvement de masse. L’émotion chargée transforma l’orateur en un super orateur, capable d’hypnotiser une vaste audience.
Un visiteur fréquent à la Prison de Landsberg où Hitler était entrain d’écrire Mein Kampf avec l’aide de Rudolf Hess, était le Général Karl Haushofer, un professeur d’université et un directeur de l’Institut Géopolitiques de Munich. Haushofer, Hitler, et Hess eurent de longues conversations ensembles. Hess garda des records de ces conversations. La demande d’Hitler pour un “Espace Vivant” Allemand à l’Est au prix des nations Slaves furent basées sur les théories géopolitiques du professeur.
Haushofer était aussi incliné en direction de l’ésotérisme. En tant que militaire attaché au Japon, il apprit le Bouddhisme-Zen. Il est aussi allé au travers des initiations des mains des Lamas Tibétains. Il est devenu le second “mentor ésotérique” d’Hitler, remplaçant Dietrich Eckart. A Berlin, Haushofer trouva la Loge lumineuse de la Confrérie du Vril. Les objectifs de la loge furent d’explorer les origines de la race Aryenne et de réaliser des exercices de concentrations afin de réveiller les forces du “Vril”. Haushofer était un étudiant du magicien Russe et métaphysicien Gregor Ivanovich Gurdyev (George Gurdjieff).
Gurdjeiff et Haushofer maintiennent qu’ils eurent des contacts avec des loges secrètes Tibétaines qui possèdent le secret afin d’être un “Superman”. La loge comprenait Hitler, Alfred Rosenberg, Himmler, Goring, et le physicien personnel d’Hitler le Dr. Morell. Il est aussi connu que Aleister Crowler et Gurdjieff ont essayé d’être en contact avec Hitler. Les pouvoirs de suggestions d’Hitler deviennent de plus en plus compréhensible si chacun garde en têtre qu’il avait accès à des “secrets” de techniques psychologiques provenant des loges ésotériques. Haushofer lui apprenait les techniques de Gurdjieff qui, en retour, furent basées sur les apprentissages des Sufis et des Lamas Tibétains- et familiarisées par ses leçons de Zen de la société japonaise du Dragon Vert.
Plus tard au milieu du centenaire dernier, des indices intriguant à propos de techniques secrètes Tibétaines furent présentés à l’Ouest par Helena Blavatsky, qui proclama l’initiation être aux mains des Lamas eux-mêmes.
Blavatsky raconte que ses Maitres Secrets et Chefs Secrets ont leur résidence dans la région de l’Himalaya.
Aussi vite que le parti Nazi reçu suffisamment de fonds, il commença à organiser bon nombres d’expéditions au Tibet qui se succédèrent l’une après l’autre pratiquement sans interruption jusqu’en 1943. Une des expressions les plus tangibles pour prouver que les Nazis avaient un intérêt pour le Tibet est l’adoption de son symbole le plus mystique - la swastika.
La swastika est un symbole humain très ancien, et en dehors de la croix et du cercle, c’est probablement celui qui a été le plus distribué. Il est représenté sur des morceaux de poteries de la Grèce au 8ème siècle avant J.C. La swastika a été utilisé dans l’ancienne Egypte, en Inde, en Chine. Les Indiens Navajo d’Amérique du Nord ont leur modèle traditionnel de la swastika. Les sorciers Arabo-Islamiques l’utilisent. Et bien plus encore.
L’idée d’utiliser la swastika par les Nazis est venu d’un dentiste appelé Dr. Friedrich Krohn qui était un membre de l’ordre secret Germanenorden. Krohn a produit le design de la forme actuelle que les Nazis utiliseront par la suite, que la croix est en fait renversée, tournant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. C’est un symbole solaire, la swastika est proprement pensée comme si elle tournait, et les Bouddhistes ont toujours cru que le symbole attirait la chance.
Le mot sanskrit pour svastika veut dire bonne fortune et bien être. D’après les connaissances traditionnelles des cabalistes et des théories de l’occulte, des forces chaotiques peuvent être évoquées juste en renversant le symbole. Et c’est alors que le symbole apparait sur le drapeau de l’Allemagne Nazi et l’insigne du parti Nazi, une indication pour ceux qui ont des yeux pour voir, car c’est la nature occulte du Troisième Reich.

Appel aux boycott des produits israéliens lisez attentivement et faites passer le message.

Parmi les produits israéliens:- Carmel (fruits et légumes) -Jaffa (fruits et légumes) - Kedem (avocats) - Coral (Cerises) - Top (fruits et légumes) - Beigel (biscuits apéritifs) - Hasat (agrumes) - Sabra (repas complets) - Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) - Dagir (conserves de poissons) - Holyland (miel, herbes) - Amba (conserves) - Green Valley (vin) - Tivall (produits végétariens) - Agrofresh (concombres) - Jordan Valley (dattes) - Dana (tomates cerises) - Epilady (appareils d'épilation) - Ahava (cosmétiques de la Mer morte)Le code barre sur la plupart des produits israéliens commence par : 729Les produits des entreprises qui soutiennent l'idéologie sioniste (américaines ou européennes)COCA-COLA - Marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical. Cette entreprise soutient l'Etat d'Israël depuis 1966.DANONE - Marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic. Danone vient d'investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.NESTLÉ - Marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni. La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l'économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l'imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.INTEL - Cette grosse entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d'investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l'usine Fab 18 de Kyriat Gat.L'ORÉAL - Marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa.L'Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l'Oréal « devenir un ami chaleureux de l'Etat d'Israël ».ESTÉE LAUDER - Marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy HilfigerOutre ses investissements, le directeur est le président d'une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.DELTA GALIL - Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C'est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria's Secret, DKNY, Ralph Lauren.LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO ( magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes)Ces entreprises fort bien implantées en France financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.TIMBERLAND (Vêtements, chaussures, chaussettesŠ) - Tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d'encourager la communauté juive US à se rendre en Israël mais également d'envoyer des soldats israéliens pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.DISNEYLAND - L'entreprise Disney n'a rien d'idyllique et contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l'occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d'une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d'Israël, cela en violation des résolutions internationales de l'ONU.
NOKIA - Le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l'Etat d'Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu' Israël faisait partie des priorités de l'entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.MC DONALD'S - Entreprise emblématique de l'impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de restaurants fast-food apporte un soutien non négligeable à l'Etat israélien. McDonald's dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l'entreprise figure parmi les heureux partenaires de l'organisation sioniste «Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l'aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël.CATERPILLAR (Equipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) - Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C'est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat israélien en 2003.La chaîne hôtelière ACCORHOTEL (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) - Cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz, Burger KingAutres produits : Cigarettes Morris (dont Marlboro), Produits Kimberly-Clarck (Kleenex, Kotex, Huggies), SanDisk (informatique), Toys RUs (jouets)

Marchons ensemble Européens, unis pour de meilleurs lendemains, hissons fièrement notre étendard, emblème sacré de notre gloire.
" Sans race, sans identité. Dans un monde uniformisé, tu crois avoir tes propres idées. toi, la machine qu'on a fabriqué, tu me traite de raciste pour te faire croire que tu existes, je suis fier de mon idéologie, j'ai conscience de ce que je suis. "

Mort au sionisme.


Oublie tout ce que l'on t'as appris à l'école.
Ta patrie c'est ta famille, ton sang et ton sol.
On nous abreuve de mensonges imposés
" Démocratie " faussoyeuse de la vérité.
De l'Europe il détourne la gloire.
De la France il salie la mémoire.
Dressons nous face à l'ennemi.
Faisons front et soyons unis.